lundi 11 octobre 2010

les vélos

Lundi 11 octobre
Bonne nouvelle, j’ai le nom de cette chose dorée que j’ai photographié hier : omikoshi. J’ai donc pu faire quelques recherches. C’est symboliquement un temple miniature (en effet on peut retrouver une structure architecturale avec piliers et toit). J’avais donc bien compris le prof, il s’agit de transporter les dieux (dont l’esprit est dans l’omikoshi) de la montagne- le temple- à la mer ! Dans de nombreux festivals l’omikoshi est emmené jusqu'à de l’eau, sûrement un reste d’animisme dans la religion Shintoïste.
Sinon, journée heureuse. J’ai réussit l’exam de vendredi. 97.5% en compréhension orale et 70.8 en grammaire. Au moins cela veut dire que cela rentre…
Autre nouvelle, j’ai trouvé du sucre au supermarché ! Il est vendu au rayon des sauces (allez comprendre pourquoi !) au kilo dans des sachets transparents et forme un rectangle compact et dur. Je n’aurais jamais trouvé si Ayaka ne m’avait pas prévenue que c’était en sachets transparents.


Je profite du fait qu'il n'y ait pas beaucoup de nouvelles aujourd'hui pour aborder un sujet dont je voulais vous parler depuis un bon moment déjà: les vélos.

Sujet important car omniprésent au Japon. Les cyclistes sont très nombreux et dangereux… Ils roulent vite, sur les trottoirs, sur le côté de la route, mais pas forcément dans le sens de la circulation automobile !
Tout le monde fait du vélo. Sauf nous qui n’avons pas le droit (décision de la fac) car il faut une assurance spéciale et faire enregistrer le vélo à la mairie.
Des vélos, il y en a plein les trottoirs, les gens les laissent devant les boutiques, devant la gare, devant chez eux, posés sur une double béquille arrière. Eh oui, pas d’antivol, rien !
Photos pas très intéressantes de Nagata, mon quartier, mais regarez bien...
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                 ←et encore là

et là au fond


Ce que j’aime surtout ce sont les vélos avec le parapluie intégré. Je trouve ça trop « kawai » (mignon), et surtout moins dangereux que les gens qui pédalent et tiennent le parapluie d’une main. Il y a beaucoup qui le font…
devant la gare